samedi 13 avril 2024

LA VIEILLESSE, ETRE VIEUX, C'EST QUOI ?

 

Qu'est ce qu'etre  vieux? Comment définir la vieillesse?

 J'ai découvert hier que j'etais entré dans la catégorie dit "des vieux". Avant je le savais, mais je pensais avoir encore une utilité sociale. Depuis hier : terminé.

 Comment savoir si l'on est vieux?

 Il existe pleins de critères, mais pas toujours évidents ni certains à 100%.
le premier est l'age, cela parait d'emblée évident, mais ce n'est pas un critère majeur. Il existe des vieux cobns à 20 ans, ces jeunes qui pensent que Macron est le sauveur, comme ceux en 1940 qui croyaient que Pétain, le Maréchal, serait le sauveur de la nation. Les jeunes vieux macronistes pensent que Macron est le petit fils spirituel de Pétain, car comme ce dernier, Macron utilise beaucoup des lois de Vichy, la pensée de Vichy, les forces de l'ordre dignes de Vichy.

A l'opposé, il existe des gens agés selon les critères de l'age, qui paraissent jeunes, selon les critères définis ci après.

Donc l'age n'est pas le critère de la vieillesse.

Les cheveux blancs sont un indice, mais pas un critère majeur.

La retraire est un début de commencement de la définition de la vieillesse, mais seule ne permet pas de définir un "vieux".

Vos enfants qui vous voient comme un vieux con est un bon début faussé de critère de la vieillesse.

La musique que vous écoutiez quand vous aviez 20 ans et que personne n'écoute plus, ou qui est considérée comme ringarde, est aussi un excellent critère de la vieillesse. Qui écoute encore en 2024 le groupe US Jefferson Airplane, ou le groupe anglais Ten years after ? Qui? J'espère que dans 30 ans plus personne n'écoutera de Rap. Cela sera ma douce vengeance, mais je ne serai plus là pour apprécier.

Il en est de même avec les livres ou les BD. Qui lit Gil Jourdan en 2024?

J'ai même l'impression que le même processus se produit avec les séries télé.

 Les vrais critères de la vieillesse sont les suivants, à mon sens:

20 ans avant (66 ans au compteur en 2024, 67 dans 15 jours), vous arriviez encore à intéresser quelques femmes qui vous souriaient de temps en temps, et vous vous sentiez encore plein de vie. 20 ans plus tard, vous ne représentez  plus le "mâle", mais le "vieux" et les regards que vous recevez sont emprunts de désintérêt, de transparence, de pitié, mais plus jamais d'envie.

Mais le pire, c'est ce que j'ai ressenti hier, c'est quand  vous croyez faire un bon mot, une boutade (vieux terme de la langue française qui veut dire un jeu de mot, une blague, ou plutot un joke comme on dit maintenant), et que personne ne fait mine d'avoir entendu, ou pire comme hier, l'a pris comme une agression, et je me suis fait engueuler de manière incroyable. J'ai ensuite expliqué à la personne que ce n'était nullement agressif mais plutot une plaisanterie somme toute banale. La demoiselle m'a semblé avoir compris, mais je n'ai aperçu aucun commencement d'excuse dans son langage. La j'ai compris que j'étais "vieux" parce qu'avec 10 ans de moins, cela serait passé.

Une autre manière d'être vieux, c'est de se sentir à coté de la plaque quand on dit quelque chose, cela je l'ai vécu avec mon beau père, mais dans ce cas cela avoisine avec le pathologique, sauf si ce que vous dites ne correspond pas aux normes en vigueur actuelles. C'est vrai dans le médical. Sauf que les vieux cons comme moi ont de meilleurs résultats en terme de diagnostic et en terme d'efficacité thérapeutiques que les jeunes nullards qui sortent des facs de médecine depuis l'année 2000, études qui formatent mais n'apprennent pas la vraie médecine basée sur le diagnostic puis la thérapeutique efficace. Tout est affaire de dogme, de protocoles préétablis par d'autres gros nullos. Un exemple terrifiant de dogme dingue, débile et qui tué des milliers de personnes : "les antibiotiques, c'est pas systématique". Et bien si, à condition bien sur de ne pas utiliser cet antibiotique prescrit systématiquement par tous ces médecins nullards issus de la faculté depuis 2000 : L'amoxicilline, l'antibiotique qui ne sert à rien…. On a beau être vieux, mais on peut connaître sur le bout des doigts la pharmacologie des antibiotiques et le spectre d'activité antibactérienne de chaque antibiotique après 66 ans, au contraire des crétins issus de la fac de médecine depuis 2000..

Etre vieux, c'est quand on s'aperçoit qu'on ne vous écoute plus, même et surtout quand vous dites (encore) des choses sensées, vérifiables et prouvables, contrairement à la sénilité ou vous racontez n'importe quoi. Certains peuvent croire que vous racontez n'importe quoi alors que vous dites la vérité, c'est l'apanage des jeunes cons sensibles aux dogmes véhiculés par une minorité ou de plus en plus souvent par la majorité. Les cerveaux des jeunes sont très malléables, et c'est pour cela que l'on recrute les fanatiques dans cette tranche d'age (nazis, communistes soviets ou chinois, macronistes etc)  

Oui je suis vieux en age, mais merde, je ne suis pas vieux en terme d'efficacité et de lucidité, bordel!

Et quant aux femmes qui ne regardent plus, je les emmerde! Parce que je vaux bien dix jeunes cons macronistes ou  musclés.

Appel aux rares visiteurs : si vous avez une opinion identique ou différente, je serai heureux de vous lire ici, dans les commentaires.

 

mercredi 13 mars 2024

Porter un masque augmente de 40 % le risque d'attraper un virus.

 Porter un masque augmente de 40 % le risque d'attraper un virus.

Tout est dit dans le titre. 

Cela vient d'une étude Norvégienne de novembre 2023, parue dans une revue Universitaire anglaise de renom . Donc totalement sérieuse et impartiale. Les pays nordiques nous ont prouvés qu'ils avaient eu une attitude plus qu'intelligente dans la crise politico-sanitaire du covid (Suède surtout)

https://doi.org/10.1017/S0950268823001826

Cet article est majeur, parce que le masque est revenu dans les hôpitaux suite aux consignes imbéciles des ARS, qui embauchent des médecins incompétents qui ne savent pas lire les boites de masques où ils est écrit que le masque est inefficace contre les virus, mais en plus ils sont dangereux, comme cette étude le montre.

Le masque étant revenu dans les hôpitaux, toute personne qui attrape une infection pendant le séjour hospitalier qu'elle soit nosocomiale ou non, pourra se retourner contre l'hôpital et demander des dommages et intérêts. 

Comme l'argent remplace l'intelligence en France, cela devrait convaincre les ARS d’arrêter d'obliger les personnels des services hospitaliers de porter un masque.

Faites circuler un maximum cet article, qui est primordial.

Dernière lubie sanitaire française

 Je viens d'apprendre la dernière lubie sanitaire française! 

A t elle été conseillé par les pédiatres? Je ne sais pas.

Après avoir fait tuer des milliers d'enfants en les faisant dormir sur le ventre entrainant des morts subites du nourrisson, après avoir fait tuer tous les enfants qui ont reçus de l'hormone de croissance infectée, après Faire traiter tous les enfants tousseurs avec des traitements anti asthmatiques, alors qu'ils leur faudrait un antibiotique efficace, c'est à dire surtout pas de l'amoxicilline, etc. voila  que maintenant ils déconseillent aux jeunes mères de donner des fromages au lait cru aux enfants de moins de 5 ans....Pourquoi 5 et pas 6 ou 4 ? mystère...

Le système immunitaire est le même à 4, 5 ou 6 ans.

Le système immunitaire a besoin de se former.  Le lait cru est un excellent moyen de le faire. Et ces fromages développent le "gout", chose impossible avec les fromages insipides pasteurisés. Les producteurs de fromages au lait cru ainsi que la confédération paysanne ont eu raison de s'élever contre de tels conseils imbéciles. https://www.francebleu.fr/infos/agriculture-peche/le-gouvernement-deconseille-le-lait-cru-aux-jeunes-enfants-fromagers-et-producteurs-s-indignent-1573015862

Les fromageries qui fabriquent des fromages au lait cru sont hypersurveillées. Et quand un cas de bactérie pathogène est découvert, cela fait la une de tous les journaux, surtout les journaux putassiers de la télé. Depuis quand on n'a plus entendu parler de telles choses? Des années ! Les paysans sont tellement surveillés, obéissent a tellement de normes imbéciles que cela a été une des raisons de la colère paysanne de début 2024.

Je connais de jeunes mères qui croient leur parole, et qui ne donnent plus de produits au lait cru à leurs enfants. Dingue !

Je n'avais pas cherché les articles parus à ce sujet... Je viens de le faire par probité intellectuelle. Ces lubies contre les fromages au lait cru viennent du ministère de l'agriculture. Sur quoi se base t -il pour conseiller et affirmer ça? Aucune idée. Des pédiatres? de gens qui n'y connaissent rien très probablement. (ultracrépidarianistes gouvernementaux?). Des écolos? Cela ne m'étonnerait pas...

Cela date de 2019. Ce n'est donc pas récent, mais je viens de l'apprendre. Quant on sait comment les pseudo experts gouvernementaux ont gérés la crise (crise politique et non sanitaire) du covid, il est logique de passer outre à ces recommandations sur le lait cru qui n'ont ni queue ni tête.

Il est malheureusement à craindre que Bruxelles ne fasse interdire un jour tous les produits au lait cru par dogmatisme pseudo sécuritaire

La pire chose a été d'introduire le principe de précaution dans la loi, car toujours utilisé n'importe comment, à tort et à travers, ce qui par son application permanente contribue à nous pourrir la vie au quotidien dans tous les domaines.

mercredi 13 décembre 2023

HALTE AU TOTALITARISME D'ETAT (premiere edition le 28 septembre 2020, toujours vrai 3 ans après)

HALTE AU TOTALITARISME D'ETAT

 Il faut absolument, imperativement faire circuler le plus possible cette tribune car le gouvernement se sert de cette pseudo epidemie pour restreindre TOUTES nos libertés.

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/il-est-urgent-de-changer-de-227373 

(la nouvelle presentation du blog m'empeche de rendre cliquable le lien, désolé)

Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19

 (Si vous voulez rejoindre la liste des signataires, envoyez un email a cette adresse : 

join.unitedhealthprofessionals@gmail.com 

En precisant, nom, prenom, statut professionnel, ville)

Dans cette tribune, près de 200 scientifiques, universitaires et professionnels de santé (hospitaliers ou libéraux) critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu'elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées. Ils demandent que l'on remette à plat nos connaissances pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire consensuelle.

 

Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !) prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’état d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu'il prétend fondées scientifiquement sur l'analyse de l'épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu'ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.

 

Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?

Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l'obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.

Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l'ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L'espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.

Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées, annoncée dès le mois de mars et ressortie des cartons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâchement » des Français, en mai avant le déconfinement, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clusters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nouveau cet automne face à une augmentation des cas certes significative, mais lente et grevée d’incertitudes diagnostiques. Au final, cette prétendue « deuxième vague » est une aberration épidémiologique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier.

 

On ne compte plus les mêmes choses

Nous voyons enfin que, pour des raisons difficiles à cerner (panique, pression politique ou médiatique… ?), les autorités sanitaires françaises ne parviennent pas à stabiliser une communication honnête sur les chiffres de l'épidémie. Elles ont surtout abandonné l'indicateur fondamental, la mortalité, pour ne retenir que celui de la positivité de tests pourtant incapables de distinguer les sujets malades des personnes guéries. Cette politique du chiffre appliquée aux tests conduit à une nouvelle aberration consistant à s'étonner du fait qu'on trouve davantage aujourd'hui ce qu'on ne cherchait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des classements des départements ou des régions en zones plus ou moins « dangereuses » à qui l’on donne de jolies couleurs qui cachent la fragilité et l’arbitraire du comptage : untel se retrouvera en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réanimation, un autre verra tous ses restaurants fermés sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de contamination majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.

Les autorités sanitaires ne s'interrogent pas non plus sur la surmortalité à venir des autres grandes causes de décès (cancers, maladies cardio-vasculaires) dont la prise en charge est délaissée, ni sur le fait qu'une partie des sujets classifiés parmi les personnes « décédées de la Covid » sont en réalité mortes en raison d’une autre pathologie mais classifiées Covid parce qu’elles étaient également porteuses du virus. Or des études récentes montrent que ce groupe pourrait constituer jusqu’à 30% des décès au Royaume Uni ces dernières semaines. Cette façon de compter de plus en plus comme « morts du Covid » des personnes en réalité atteintes avant tout d’autres maladies est probablement l’explication principale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l'INSEE : « depuis le 1ᵉʳ mai, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019 ».

 

Il découle de tout ceci qu'il n'y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d'arrêter l’escalade, d'accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste.

 

mardi 28 novembre 2023

Laurent TOUBIANA

 

Je viens de terminer son livre et je suis ébahi, parce que tout ce qu'il écrit correspond EXACTEMENT à ce que j'ai pu comprendre sur cette pseudo épidémie, tout seul dans mon coin, en observant et en me renseignant. Lui ses conclusions proviennent de constatations épidémiologiques, c'est à dire STATISTIQUES. Moi, me constatations viennent de mes consultations, des interrogatoires de patients, des examens cliniques et para cliniques, de mes connaissances personnelles de Pneumologue et d'immunologiste. 

Globalement, je suis d'accord avec tout ce qu'il écrit à 99,99 %. Il y a juste un ou deux détails sur lesquels je trébuche. Je vais lui  écrire, car son livre date de 2022, et depuis il y a eu du nouveau. En outre il oublie le rôle néfaste des radiologues et de l'interdiction de la cortisone et de deux ou trois autres points.

CE LIVRE EST UN MUST. IL DEVRAIT ETRE OBLIGATOIRE EN FAC DE MEDECINE.

Moi qui haïssait les épidémiologistes avant, responsables je croyais de la dictature Macron.... Je crois que c'est parce qu'il n'est pas médecin qu'il voit clair. Malheureusement, une très grande partie de mes confrères est aveuglée par 8 à 10 ans d'études décérébrantes, de bourrage de crane. Ce sont les médecins-épidémiologistes qui sont toxiques et mauvais. Nous sommes revenus au moyen age de la médecine, où les médecins croyaient à l'utilité des lavements, purgations, saignées et autres fariboles, sauf que maintenant c'est sous couvert de la "science", mais trafiquée et dévoyée.